« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.

jeudi 31 octobre 2013

Franz-Olivier Giesbert cajole son employé Christophe Ono-dit-Biot.

Le 24 Octobre 2013 le site du Point publie une réclame de Franz-Olivier Giesbert (qui est le patron du Point) à la gloire du dernier livre de Christpohe Ono-dit-Biot (qui est un employé du Point) :


" (...) Christophe Ono-dit-Biot, notre ami du Point, au nom qui fleure bon le pays de Caux (...)
ce roman qui affiche un parti pris de légèreté. (...)
l'auteur s'est lâché. (...)
Plonger est un vrai-faux roman et les lecteurs du Point retrouveront leur journal, ici appelé l'Entreprise (...)
Cher Christophe (...)
Tous ceux qui le connaissent retrouveront, dans ce livre, les passions grecques et les obsessions galeristes d'Ono-dit-Biot. Sa fascination pour tout ce qui brille ou pour les grands textes et les vestiges de l'Antiquité, enfouis sous les pelletées de l'Histoire. Son amour aussi de la mer, j'allais dire des mers. (...)
Comme le narrateur, CODB est double, triple, peut-être plus. C'est quand on croit l'avoir saisi qu'on a cessé de le comprendre. (...)
cette ode vigoureuse à la vie et à l'amour (...)
Christophe Ono-dit-Biot virevolte et change de pied, de milieu ou de continent avec une aisance ébouriffante. (...)
Ceux qui ne participent pas aux conférences de rédaction du Point ne le savent pas, mais Ono-dit-Biot a toujours été un fou des requins, ces prédateurs débiles (...)
Roman brillant d'une génération sceptique, voire cynique, Plonger n'hésite pas à célébrer le narcissisme, dont le narrateur considère qu'il devrait être "obligatoire" (...)
S'il fallait résumer ce beau livre solaire et noir, deux mots suffiraient : mourir vivant. (...) " .

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