Jean-Louis Gagnaire est un député " socialiste " de la Loire.
Son fil touitteur montre sa dévotion pour Manuel Valls et ses convictions d'homme de droite.
Extraits :
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
mardi 29 avril 2014
dimanche 27 avril 2014
« Et il est très apprécié par le Medef local. »
Le 10 avril 2014 Paris Match (propriété du marchand d'armes Arnaud Lagardère) met en ligne un article de Mariana Grépinet consacré au nouveau ministre du travail, le " socialiste " François Rebsamen.
Et c'est " sa plus fidèle conseillère " qui parle le mieux de cet homme de droite :
Et c'est " sa plus fidèle conseillère " qui parle le mieux de cet homme de droite :
La fée clochette de Manuel Valls.
Clotilde Valter est une députée " socialiste " qui est en extase devant les exploits de Manuel Valls, le premier ministre de droite qui se dit de gauche.
Son fil touitteur est une enfilade de perles pro-Valls.
Extraits :
Alain Lambert est un ancien ministre de Jean-Pierre Raffarin.
Comme le rappel Acrimed : "Le 1er avril 2014, le président du Parti radical de gauche (PRG) Jean-Michel Baylet est mis en examen pour une affaire de frais de bouche remontant à 2004. Une information relayée par la plupart des médias grand public.
Or que trouve-t-on sur le site de La Dépêche, propriété de Jean-Michel Baylet ? Rien… ou presque. (...) " .
Son fil touitteur est une enfilade de perles pro-Valls.
Extraits :
Alain Lambert est un ancien ministre de Jean-Pierre Raffarin.
Comme le rappel Acrimed : "Le 1er avril 2014, le président du Parti radical de gauche (PRG) Jean-Michel Baylet est mis en examen pour une affaire de frais de bouche remontant à 2004. Une information relayée par la plupart des médias grand public.
Or que trouve-t-on sur le site de La Dépêche, propriété de Jean-Michel Baylet ? Rien… ou presque. (...) " .
Un chien de garde de Manuel Valls.
Jean-Louis Gagnaire est un député " socialiste " de la Loire.
Son fil touitteur montre sa dévotion pour Manuel Valls et ses convictions d'homme de droite.
Extraits :
Son fil touitteur montre sa dévotion pour Manuel Valls et ses convictions d'homme de droite.
Extraits :
samedi 26 avril 2014
Encore une connivence du Monde des livres avec un de ses collaborateurs ... ce qui infirme une assertion d'Acrimed.
Sous la plume de Jean
Birnbaum, Le Monde des livres daté du
25 avril 2014 rend compte d’« un
chef d’œuvre » : Une enfance de rêve, de Catherine
Millet, collaboratrice au Monde des
livres : « L’auteure fait rayonner une lumière qui éclaire l’existence
de tous et de chacun. Ouvrez Une enfance de rêve à n’importe quelle page,
mettez-le sous les yeux d’un ami, et vous l’entendrez bientôt s’exclamer
: “Mais bien sûr ! C’est vraiment ça ! C’est bien ma vie !” Vous comprendrez
alors que si Catherine Millet “sait” vous tromper, c’est pour mieux vous
réconcilier avec la multiple splendeur des choses. »
Cette connivence invalide ce qu'écrit Blaise Magnin le 3 avril 2014 sur le site d'Acrimed, le pourtant bien informé observatoire des médias, à propos du Monde des livres :
" Dont on doit bien reconnaître qu’il se porte nettement mieux depuis que le règne systématique de la complaisance, de la connivence et du « renvoi d’ascenseur » a pris fin avec le départ de Josyane Savigneau."
Rappel de quelques connivences éclatantes du Monde des livres :
Cette connivence invalide ce qu'écrit Blaise Magnin le 3 avril 2014 sur le site d'Acrimed, le pourtant bien informé observatoire des médias, à propos du Monde des livres :
" Dont on doit bien reconnaître qu’il se porte nettement mieux depuis que le règne systématique de la complaisance, de la connivence et du « renvoi d’ascenseur » a pris fin avec le départ de Josyane Savigneau."
Rappel de quelques connivences éclatantes du Monde des livres :
1/ Les contributeurs du supplément " livres " du onde daté du 21 juin 2013 proposent leurs " coups de de coeur pour l'été " .
Ainsi, Elisabeth Roudinesco fait la réclame d'un livre de Michelle Perrot dont elle avait rendu compte dans le supplément " livres " du Monde daté du vendredi 16 novembre 2012 en clamant : " (...) on ne peut qu'être sensible à ce superbe livre qui s'inspire autant de Michelet que d'Hugo (...) " .
Michelle Perrot fut la directrice de thèse d' Elisabeth Roudinesco...
Ainsi, Elisabeth Roudinesco fait la réclame d'un livre de Michelle Perrot dont elle avait rendu compte dans le supplément " livres " du Monde daté du vendredi 16 novembre 2012 en clamant : " (...) on ne peut qu'être sensible à ce superbe livre qui s'inspire autant de Michelet que d'Hugo (...) " .
Michelle Perrot fut la directrice de thèse d' Elisabeth Roudinesco...
2/ Le 26 novembre 2011 le site www.fabula.org annonce que la soutenance d' habilitation à diriger des recherches de Marielle Macé aura lieu le 10 décembre 2011.
Parmi les membres du Jury : Tiphaine Samoyault.
Parmi les membres du Jury : Tiphaine Samoyault.
Dans le supplément " Livres " du Monde daté du 12 avril 2013 Marielle Macé n'est pas gênée de publier un compte-rendu enflammé du dernier livre de Tiphaine Samoyault :
" J'ai ouvert ce livre avec anxiété : il s'annonçait comme le récit qu'une femme à peine plus âgée que moi, universitaire et écrivain, dont j'admire l'autorité et la liberté - faisait de ses hontes. (...) comme disait Michaux en voyage (...) comme la Félicité de Flaubert (...) une femme hors norme puisqu'elle écrit (écrit vraiment) (...) C'est un livre plein d'audace et de dureté, dont l'auteur ne joue ni à perdre ni à se perdre. L'audace de Tiphaine Samoyault l'avait déjà conduite vers Maurice Nadeau, à la porte duquel elle a frappé à tout juste 20 ans, pour bientôt prendre une place importante dans la vie littéraire.
Sa dureté a quelque chose de sartrien, dans la traque des raisons
authentiques, la honte d'avoir honte, et cette maladie de lucidité qui
devrait être, pour chacun de nous, l'écriture même. "
3/ Copinage pulsionnel : dans le supplément " Livres " du Monde daté du
vendredi 17 mai 2013 Josyane Savigneau, présidente du jury du Prix
Simone de Beauvoir 2013, rend compte avec des moulinets du dernier de
Julia Kristeva qui est la présidente d'honneur du jury du Prix Simone de
Beauvoir 2013 :
" (...) elle a une pensée très structurée, une vision cohérente (...) " .
" (...) elle a une pensée très structurée, une vision cohérente (...) " .
4/ Pierre Bouretz renvoie l'ascenseur à feu Paul Ricoeur.
En 1996 Paul Ricoeur signe la préface d'un livre de Pierre Bouretz.
Dans le supplément " Livres " du Monde daté du vendredi 26 avril 2013 Pierre Bouretz publie un article à la gloire de Paul Ricoeur.
5/ Pudique renvoi d'ascenseur : dans le supplément " Livres " du Monde daté
du vendredi 19 avril 2013 l'anthropologue Frédéric Keck consacre une
page entière à l'anthropologue Michel Naepels, lequel Michel Naepels est
le co-directeur d'un livre paru en 2007 et dont l'un des chapitres est
signé par Frédéric Keck.
Don et contre-don ...
Don et contre-don ...
6/ Copinage d'outre-tombe : dans le supplément "Livres" du Monde daté du
vendredi 29 mars 2013 Jean Birnbaum rend un vibrant hommage à feu
Jean-Marc Roberts qui était le patron des éditions Stock, et donc, ce
que Jean Birnbaum omet de préciser, l'éditeur de trois livres de ...
Jean Birnbaum.
" L'essentiel était, et demeure, de recommencer demain. " écrit Jean Birnbaum. Au sujet de la pratique du copinage ?
7/ Copinage mondain : dans le supplément "Livres" du Monde daté du vendredi
15 mars 2013 est publié un compte-rendu non signé du dernier livre
d'Harry Bellet qui est critique d'art au Monde.
"Qui savait que Hans Holbein, "artiste et bourgeois de Bâle", mort à Londres en 1543, avait eu une jeunesse aussi mouvementée ? Du peintre du XVIe siècle, Harry Bellet retrouve l'acuité, la justesse psychologique, alors même qu'il échafaude une intrigue formidable d'audace et de malice. Soutenu par une érudition ébouriffante, le journaliste, historien d'art et romancier conduit sa fiction avec une santé décapante. Avec aussi une grivoiserie assumée (...)."
"Qui savait que Hans Holbein, "artiste et bourgeois de Bâle", mort à Londres en 1543, avait eu une jeunesse aussi mouvementée ? Du peintre du XVIe siècle, Harry Bellet retrouve l'acuité, la justesse psychologique, alors même qu'il échafaude une intrigue formidable d'audace et de malice. Soutenu par une érudition ébouriffante, le journaliste, historien d'art et romancier conduit sa fiction avec une santé décapante. Avec aussi une grivoiserie assumée (...)."
8/ Copinage mondain : on peut lire en page 4 du supplément "Livres" du
Monde un compte-rendu élogiieux du dernier livre d'Eric Chevillard dont
le feuilleton est publié en page 8 du même supplément.
Extraits du compte-rendu non signé : "Eric Chevillard ne fait pas qu'écrire de bon livres et tenir le feuilleton de notre supplément littéraire. Il écrit aussi un journal sur son blog "l'autofictif". Il en publie régulièrement une version papier dont voici le cinquième tome. On s'y délectera en particulier de ses notes sur la littérature. (...)."
Extraits du compte-rendu non signé : "Eric Chevillard ne fait pas qu'écrire de bon livres et tenir le feuilleton de notre supplément littéraire. Il écrit aussi un journal sur son blog "l'autofictif". Il en publie régulièrement une version papier dont voici le cinquième tome. On s'y délectera en particulier de ses notes sur la littérature. (...)."
9/ Copinage mondain : le supplément "Livres" du Monde daté du vendredi 8
mars 2013 signale la parution du dernier livre d'Hervé Kempf qui est un
journaliste du Monde.
Normal...
Normal...
10/ Copinage mondain : le supplément "Livres" du Monde daté du vendredi 8
mars 2013 signale en page 7 la parution du dernier livre de Roger-Pol
Droit qui est un collaborateur du supplément "Livres" du Monde dont on
peut lire la chronique en page 8 du même supplément...
... normal.
11/ Copinage d'entreprise : dans le supplément Livres du Monde daté du 1er
mars 2013 Cécile Guilbert rend compte d'un livre paru chez Gallimard
dans la collection L'infini, une collection dans laquelle Cécile
Guilbert a publié trois livres :
normal...
normal...
12/Copinage de routine : dans le supplément Livres du Monde daté du 1er
mars 2013 Josyane Savigneau rend compte d'un ouvrage co-dirigé par
Jean-Louis Jeannelle qui est un collaborateur du supplément Livres du
Monde...
Josyane Savigneau ne changera jamais, cf : http://www.homme-moderne.org/plpl/n11/p3.html
Josyane Savigneau ne changera jamais, cf : http://www.homme-moderne.org/plpl/n11/p3.html
13/ Copinage mondain : dans Le Monde daté du vendredi 18 janvier 2013
Florent Georgesco se prosterne devant le dernier "livre" de Philippe
Sollers qui est un ancien éditorialiste associé du Monde :
"(...) rythme soutenu du texte (...) il y a parfois de la magie (...) un charme dans cette façon si sollersienne de faire de son livre un territoire souverain (...) le multiple scintille à chaque page (...)".
14/ Dans le supplément "Livres" du Monde daté du 4 janvier 2013 Elisabeth
Roudinesco rend compte favorablement du dernier livre de son copain
Jacques Le Rider qui dans le supplément "Livres" du Monde du 30 octobre
2009 avait rendu compte favorablement d'un livre d'Elisabeth
Roudinesco...
... cela s'appelle un renvoi d'ascenseur.
15/ Copinage mondain : dans le supplément "Livres" du Monde daté du vendredi
21 décembre 2012 Dominique Le Guilledoux rend compte du dernier de
François Bott qui est un ancien journaliste du Monde...
... "(...) François Bott (...) l'élégance discrète qui est la sienne (...) ".
16/ Copinage mondain : dans le supplément "Livres" du Monde daté du vendredi
14 septembre 2012 Isabelle Regnier rend compte du dernier livre dirigé
par Jean-François Rauger qui est un collaborateur du Monde :
"(...) les fabuleuses photos de cet album (...)".
17/ Copinage mondain : dans le supplément "Livres" du Monde daté du vendredi
14 septembre 2012 Thomas Sotinel rend compte du dernier livre dirigé
par Antoine de Baecque qui est un collaborateur du supplément "Livres"
du Monde :
"(...) bel ouvrage (...) avec érudition et malice, légèreté et rigueur (...) "
18/ Triple copinage (!) : dans le supplément "livres" du Monde daté du
vendredi 7 décembre 2012 on peut lire les comptes-rendus (non signés)
des derniers livres de trois journalistes du Monde :
_ un livre de Plantu : "(...) mordant (...) Et, pour fêter 40 ans de dessins au Monde, cet
album s'ouvre sur une série de dessins, les meilleurs de 1972 à
aujourd'hui. Une bonne rasade de rire et de nostalgie. A verser dans les
verres de fête."
_ deux livres d'Amaury da Cunha : "(...) l'élan d'audace (...) Poésie de l'instant, les photographies et les textes d'Amaury da Cunha, rédacteur photo au Monde, sont empreints d'une douceur inquiète (...)".
_ deux livres d'Amaury da Cunha : "(...) l'élan d'audace (...) Poésie de l'instant, les photographies et les textes d'Amaury da Cunha, rédacteur photo au Monde, sont empreints d'une douceur inquiète (...)".
un livre de Véronique Mortaigne : "(...) Véronique Mortaigne, responsable de la rubrique "musiques actuelles" [au Monde] (...)".
19/ Superbe renvoi d'ascenseur : dans le supplément "livres" du Monde daté
du vendredi 16 novembre 2012 Elisabeth Roudinesco rend compte du dernier
livre de Michelle Perrot qui fut la directrice de thèse d' Elisabeth
Roudinesco...
... et Elisabeth Roudinesco d'écrire :
"(...) on ne peut qu'être sensible à ce superbe livre qui s'inspire autant de Michelet que d'Hugo (...)".
A quand une thèse sur les renvois d'ascenseur dans le journalisme et l'Université?
20/ Colossal Copinage : dans Le Monde daté du vendredi 12 octobre 2012
Thomas Sotinel et Jacques Mandelbaum rendent compte du dernier livre de
Pascal Mérigeau qui est un ancien critique de cinéma du... Monde.
Et Mandelbaum de vaporiser :
"Pascal Mérigeau a signé des biographies hautement recommandables, qui
font généralement place nette en matière d'ouvrages de référence. Ce
fut le cas de Joseph Mankiewicz (Denoël, 1993) et de Maurice Pialat (Grasset, 2003). Ça l'est de nouveau avec ce colossal Jean Renoir, nourri
d'une pointilleuse recherche d'archives et doté, ce qui n'est pas si
fréquent, d'un point de vue tranché. (...)".
21/ Copinage mondain : dans le supplément "livres" du Monde daté du vendredi
9 novembre 2012 on peut lire le compte-rendu (non signé) des actes du
23e "Forum philo... Le Monde Le Mans", un ouvrage publié sous la
direction de Jean Birnbaum qui dirige ... le supplément "livres" du
Monde.
Un "Forum" sur le copinage, c'est pour bientôt?
22/ Copinage mondain : dans le supplément "livres" du Monde daté du 2
novembre 2012 Yann Plougastel rend compte du dernier livre de Jean-Luc
Douin... "qui fut une plume de la rubrique cinéma du Monde".
Le copinage élevé au rang de 8ième art "Avec élégance, érudition et humour (...)".
23/ Dans Le Monde des livres daté du vendredi 31 août 2012 Lydie Salvayre
rend compte du dernier livre de Cécile Guilbert qui est une
collaboratrice du Monde des livres. Encore une connivence mondaine.
No comment.
24/ Connivence troublée du Monde des livres avec son contributeur René de Ceccatty.
Le 20 avril 2012 Le Monde des livres rend compte du dernier livre de René de Ceccatty: "(...) cette fable brillante (...)".
25/ Connivence pensante de Jacques Mandelbaum avec Antoine de Baecque.
Dans le "Monde des livres" daté du vendredi 4 mai 2012 Jacques
Mandelbaum écrit à propos du dernier livre co-dirigé par Antoine de
Baecque:
"L'absence d'une entrée "cinéma" déparait la riche
collection de dictionnaires édités par les Presses universitaires de
France. La réparation est d'assez belle facture. Plutôt qu'à une
déclinaison classique des réalisateurs, écoles et autres
cinématographies nationales, les deux colligeurs de ce nouvel ouvrage -
le philosophe Philippe Chevalier et l'historien Antoine de Baecque, qui
collabore au "Monde des livres" - ont pris le parti d'innover et de surprendre. (...) voici un ouvrage bien fait et bien pensé (...)."
26/ Connivence "intelligente" de Pierre Assouline avec son patron Jean Birnbaum.
Pierre Assouline est chroniqueur au supplément "Livres" du Monde.
Jean Birnbaum dirige le supplément "Livres" du Monde.
Jean Birnbaum dirige le supplément "Livres" du Monde.
Dans le supplément "Livres" du Monde daté du 13 mars 2012 Pierre Assouline fait le compte-rendu d'un colloqué intitulé "Les facultés de juger" et auquel participait Jean Birnbaum.
Pierre Assouline se fait un plaisir de citer son patron:
" (...) "On peut lire en ennemi, comme le fait par exemple Eric Marty
avec Genet ou Althusser. Lire en ennemi est parfois moins violent que
critiquer en faux-cul", répondit Jean Birnbaum. (...). Qu'on se le dise: il est des colloques d'où l'on sort plus intelligent qu'on y était entré."
Qu'on se le dise: il est un supplément "Livres" où la lèche a encore de beaux jours devant elle.
27/ Le Monde séduit par la fille de son ancien patron.
Le février 2012 Le Monde met en ligne un article d'Amélie Nothomb qui rend compte du dernier roman d'Elsa Fottorino:
"(...) Le roman a
la bonne idée de ne pas regorger de marqueurs temporels, tels que des
événements ou des titres de film. (...) Elsa Fottorino a 26 ans. Comment un auteur né en 1986 réussit-il ce tour
de force de faire sentir de l'intérieur une époque à laquelle il est
étranger ? Sacrée question. (...) L'intuition d'Elsa Fottorino semble être que l'essence
de ces années 1960, c'est la disparition. (...) Pour être l'enterrement de
première classe des années 1960, le roman d'Elsa Fottorino dégage le
contraire d'une poésie de proximité : faut-il parler d'une poésie
d'éloignement ? (...) ce livre très construit et dont l'un des charmes est
que, à l'instar d'un crime gratuit, on n'en saisit pas le mobile. De
qui ou de quoi Elsa Fottorino écrit-elle la nécrologie ?"
Elsa Fottorino est la fille d'Eric Fottorino, un ancien journaliste du Monde et ancien directeur du Monde.
Dans son édition du 22 janvier 2010 Le Monde avait trouvé "prometteur" le premier livre d'Elsa Fottorino. A l'époque Eric Fottorino dirigeait Le Monde.
28/ Les cadeaux du Monde à ses journalistes.
Le cahier "livres" du Monde daté du 16 décembre 2011 annonce la parution:
_ du dernier livre de Plantu, dessinateur au Monde,
_ du dernier livre co-écrit par Raphaëlle Bacqué, journaliste au Monde: "Un livre instructif, un beau numéro de duettistes."
29/ Julie Clarini apprend vite.
Le 23 décembre 2011, dans le supplément "livres" du Monde (pour
lequel elle travaille depuis août 2011), Julie Clarini rend compte du
dernier livre d'Antoine de Baecque, un collaborateur du supplément
"livres" du Monde.
30/ Subtile connivence textuelle au Monde des Livres.
Patrick Kéchichian a été journaliste au Monde.
Ce jeudi 8 décembre 2011 le site du Monde met en ligne un article de Jean-Louis Jeannelle consacré au dernier livre de Patrick Kéchichian portant sur Jean Paulhan:
"(...) L'une de[s] (...) devises [de Jean Paulhan] était qu'il n'est "rien de plus normal et ordinaire que d'être constamment surpris". C'est cette maxime que le critique Patrick Kéchichian, ancien journaliste au Monde , s'est appliqué à suivre dans un très subtil portrait, Paulhan et son contraire. (...)"
Jean-Louis Jeannelle et Patrick Kéchcichian ont publié chacun un article dans le n°64 de la revue Textuel paru en novembre 2011.
31/ Antoine de Baecque fait briller les escarpins de Mona Ozouf.
En 1991 Antoine de Baecque publie un article dans La Gironde et les Girondins, un ouvrage co-dirigé par Mona Ozouf.Dans Le Monde des livres daté du 25 novembre 2011 Antoine de Baecque rend compte du dernier livre de Mona Ozouf: "(...) l'œuvre historique et littéraire de Mona Ozouf (...) sa sensibilité aux écrivains, son goût sûr pour les mémoires et les correspondances, son art du portrait (...) brille un style qui n'a que peu d'égaux dans la littérature française actuelle. (...) Elle sait transcrire l'une et l'autre émotions politiques avec brio et sincérité. (...)"
32/ Le Monde des livres fait de discrets bisous à un ancien du Monde des livres.
Pierre Lepape est un ancien "feuilletoniste" du Monde des livres.
Dans Le Monde des livres daté du vendredi 30 septembre 2011 Julie Clarini rend compte du dernier livre de Pierre Lepape:
"(...) L'érudition de Pierre Lepape, critique littéraire et ancien feuilletoniste du "Monde des livres" (...) Pierre Lepape émaille ce parcours historique de discrètes mais subtiles réflexions."
Toujours dans la même livraison du Monde des livres Julie Clarini et Jean Birnbaum interviewent Pierre Lepape et l'invité-permanent-des-médias-Alain-Finkielkraut.
33/ Connivences au Monde des livres.
Cécile Guilbert et Michel Crépu étaient membre du jury du Prix Décembre
2010, un prix financé par le millionnaire Pierre Bergé, l'un des
propriétaires du Monde.
Par ailleurs, Cécile Guilbert a publié trois livres dans la collection
L'infini chez Gallimard et Michel Crépu y a publié un livre. L'infini
est une collection fondée et dirigée par Philippe Sollers, un des
membres du jury du Prix Décembre 2010.
Dans Le Monde des livres du vendredi 16 septembre 2011 Cécile Guilbert rend compte du dernier livre de Michel Crépu:
"Enlevé, brillant, rapide, bourré d'ellipses et de raccourcis, de coq-à-l'âne et de tête-à-queue, le vif essai que Michel Crépu consacre à François-René de Chateaubriand (1768-1848) enfonce tous les pavés indigestes de la rentrée littéraire. (...) les Etudes historiques, dont la prodigieuse préface de 200 pages, présentée par le même Crépu (...) l'ambition
de cet ondoyant portrait diffracté qui se paie le luxe de traverser au
galop un monument dont il ne cite presque rien, comme de ciseler des métaphores pop qui devraient séduire notre époque ignare (...)".
« Immaturité politique »
Quand des députés " socialistes " se souviennent qu'ils sont supposés être de gauche et refusent donc les choix du premier ministre de droite qui se dit de gauche ... d'autres députés " socialistes " qui sont ouvertement de droite sortent le bazooka comme le montre un article mis en ligne par Le Figaro le 25 avril 2014.
Extraits :
Pour les solfériniens (le siège du parti " socialiste " est situé rue de Solférino), être de gauche c'est donc être irresponsable, être des " intermittents du spectacle " , faire preuve d' " immaturité politique " et manquer de " solidité " .
Extraits :
Pour les solfériniens (le siège du parti " socialiste " est situé rue de Solférino), être de gauche c'est donc être irresponsable, être des " intermittents du spectacle " , faire preuve d' " immaturité politique " et manquer de " solidité " .
jeudi 24 avril 2014
mercredi 23 avril 2014
lundi 21 avril 2014
Nous sommes la droite ! (21)
Ce dimanche 20 avril 2014 le ministre du travail " socialiste " François Rebsamen était l'invité d'une émission sans intérêt de Canal +.
Voici ce que Le Point (via l'AFP) nous dit de la prestation du solférinien Rebsamen :
C'est bien connu : Hollande s'est fait élire en 2012 en promettant un quinquennat délicieux pour les dominants (avec cadeaux fiscaux) et impitoyable pour les dominés.
Voici ce que Le Point (via l'AFP) nous dit de la prestation du solférinien Rebsamen :
C'est bien connu : Hollande s'est fait élire en 2012 en promettant un quinquennat délicieux pour les dominants (avec cadeaux fiscaux) et impitoyable pour les dominés.
Le Monde se fait le relais (complaisant) de la propagande (libérale) de la fondation Bertelsmann.
Le 7 avril 2014 Le Monde met en ligne un article de Frédéric Lemaître titré : " Difficultés à se réformer, manque de compétitivité… Les experts allemands notent la France " .
Tous les experts allemands (de quoi, en quoi, à quels titres ? ) se seraient réunis pour " noter " la France ?
Extraits :
la puissante fondation Bertelsmann publie, lundi 7 avril, une étude sans complaisance sur l’état de la France. Un pays qui « n’est pas compétitif », selon ses experts.
le regard que portent les trois experts chargés d’ausculter la France. Pour les Allemands Reimut Zohlnhöfer, professeur à l’université de Heidelberg, Henrik Uterwedde, directeur adjoint de l’institut franco-allemand de Ludwigsburg, et l’universitaire français Yves Mény, [Tiens, ce ne sont plus " Les experts allemands " mais seulement trois universitaires périphériques dont un français qui récitent le catéchisme libéral à la sauce Bertelsmann] « la France n’est pas capable d’affronter les défis de la construction européenne et de la mondialisation. Alors qu’elle se bat pour adapter son modèle économique et social à un monde changeant, les problèmes s’aggravent bien plus qu’ils ne diminuent ».
ils préconisent de « poursuivre les réformes qui accroissent la compétitivité »
Pour eux, il y a « culturellement, une méfiance fondamentale envers les marchés et une croyance largement répandue que l’action publique est un moyen efficace de guider l’économie et de résoudre les problèmes ».
Leur conclusion est sans appel : « Le refus des élites politiques d’admettre la nécessité d’adapter le modèle français a contribué à renforcer l’illusion qu’une politique économique différente pouvait échapper aux contraintes des marchés et de la compétitivité. » .
Tous les experts allemands (de quoi, en quoi, à quels titres ? ) se seraient réunis pour " noter " la France ?
Extraits :
la puissante fondation Bertelsmann publie, lundi 7 avril, une étude sans complaisance sur l’état de la France. Un pays qui « n’est pas compétitif », selon ses experts.
Ce ne sont plus LES experts allemands mais les experts de la fondation Bertelsmann.
Bertelsmann est un groupe allemand spécialisé, pour le bonheur de l'humanité, dans les médias (RTL, M6, Voici, ...) :
- Bénéfice net du groupe : 870 millions d'euros.
- Part du bénéfice revenant aux actionnaires : 498 millions d'euros.
- Chiffre d'affaires : 16,4 milliards d'euros.
le regard que portent les trois experts chargés d’ausculter la France. Pour les Allemands Reimut Zohlnhöfer, professeur à l’université de Heidelberg, Henrik Uterwedde, directeur adjoint de l’institut franco-allemand de Ludwigsburg, et l’universitaire français Yves Mény, [Tiens, ce ne sont plus " Les experts allemands " mais seulement trois universitaires périphériques dont un français qui récitent le catéchisme libéral à la sauce Bertelsmann] « la France n’est pas capable d’affronter les défis de la construction européenne et de la mondialisation. Alors qu’elle se bat pour adapter son modèle économique et social à un monde changeant, les problèmes s’aggravent bien plus qu’ils ne diminuent ».
ils préconisent de « poursuivre les réformes qui accroissent la compétitivité »
Pour eux, il y a « culturellement, une méfiance fondamentale envers les marchés et une croyance largement répandue que l’action publique est un moyen efficace de guider l’économie et de résoudre les problèmes ».
Leur conclusion est sans appel : « Le refus des élites politiques d’admettre la nécessité d’adapter le modèle français a contribué à renforcer l’illusion qu’une politique économique différente pouvait échapper aux contraintes des marchés et de la compétitivité. » .
Notre conclusion est sans appel : le refus de la part de bien des journalistes de s'interroger sur la fabrication des contenus des dossiers de presse des organismes de propagande libéraux a contribué à renforcer l'illusion que la seule politique possible est celle de la Commission de Bruxelles, du FMI, de l'OCDE et de la Banque mondiale.
samedi 19 avril 2014
Nous sommes la droite ! (20).
Extrait d'un article d'Hélène Bekmezian mis en ligne par Le Monde le 19 avril 2014 :
M. Le Guen est un ministre " socialiste " , un solférinien.
On rappelle à Carlos Da Silva que M. Valls a eu 5,63 % des voix exprimées au 1er tour de la primaire " socialiste " des 8 et 9 octobre 2011 pour désigner le candidat solférinien à la présidentielles de 2012.
Manuel Valls a donc un réel poids relatifs très riquiqui...
M. Le Guen est un ministre " socialiste " , un solférinien.
On rappelle à Carlos Da Silva que M. Valls a eu 5,63 % des voix exprimées au 1er tour de la primaire " socialiste " des 8 et 9 octobre 2011 pour désigner le candidat solférinien à la présidentielles de 2012.
Manuel Valls a donc un réel poids relatifs très riquiqui...
vendredi 18 avril 2014
Scènes de la vie mondaine.
Le 17 avril 2014 Le Monde met en ligne un article de Marion Van Renterghem consacré à un coquetèle qui a eu lieu le 3 avril 2014 et qui fait honneur à nos chers leaders.
Extraits :
Un cocktail donné par une journaliste [Sylvie Maligorne] de l’Agence France-Presse (AFP) qui tournait la page, après cinq ans à la tête du service politique, pour devenir « senior reporter ».
Sylvie Maligorne avait invité « tout le monde », comme elle dit
« Le premier ministre viendra », annonce-t-elle dans la journée au président de l’AFP, Emmanuel Hoog.
Des membres du nouveau gouvernement constitué la veille et autoproclamé « gouvernement de combat » sirotaient du champagne.
Vers 19 h 30, la plupart des invités sont là quand un brouhaha annonce l’arrivée d’un gros calibre. C’est Manuel Valls. Jean-Luc Mélenchon tente de se cacher derrière un pilier, mais il n’échappe pas à la poignée de main avec le premier ministre
Manuel Valls, tout frais nommé, qui était là pour sa « première sortie publique », comme il l’a souligné, prend la parole d’autorité, comme s’il était venu pour ça. « Nous nous sommes connus tout petits », dit-il, faisant allusion au début des années 1990 où Sylvie débutait à l’AFP alors qu’il était au cabinet de Michel Rocard. Quand il devient conseiller de Lionel Jospin à Matignon, le bureau de l’AFP se trouve juste en dessous du sien. « Quand vous entendiez mes pas un peu plus vite, vous saviez que j’allais venir vous engueuler », rappelle-t-il pour louer l’impartialité de la journaliste.
Le président Hollande arrive, décontracté, débonnaire.
Sylvie Maligorne, réputée émotive, fond en larmes. Elle le connaît depuis si longtemps, ce chef de l’Etat qu’elle tutoie et appelle François depuis ses balbutiements de député en Corrèze. « C’était normal que François soit là », insiste une collègue qui n’arrive pas non plus à appeler le président « président ». « Je n’imaginais pas de ne pas venir, renchérit Jean-Louis Debré. On en a passé des heures ensemble, dans la salle des Quatre-Colonnes… »
« C’était une fête privée, précise Sylvie Maligorne, organisée avec mes petits sous… »
« Tu me prends avec Manuel ? » « François, un selfie ! » On voit François Hollande et Jean-Luc Mélenchon, frères ennemis de la gauche, qui gazouillent dans un coin. Jean-Luc qui tapote la joue de François en riant. Les UMP Valérie Pécresse et Christian Jacob qui taquinent Valls et pouffent avec le Vert Jean-Vincent Placé. Le même en grande discussion avec Sapin, Valls et le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré. Le communiste Pierre Laurent, presque gai. Debré et Mélenchon qui font un selfie
Que se sont dit d’important Hollande et Mélenchon, qui attendait derrière son poteau son tour de poignée de main ? Leurs cinq minutes d’échange souriant ont mis l’assemblée en émoi. « Tu nous mets en danger », lui a dit le coprésident du Parti de gauche. « Voyons-nous », lui a répondu le président. Et puis Mélenchon a pris Hollande en photo, comme tout le monde, avant de s’en aller dîner avec Jean-Vincent Placé.
« C’était une soirée privée », répète Sylvie Maligorne. A l’AFP, agence de presse semi-publique, on est particulièrement sensible aux sarcasmes. D’autant que l’ancienne chef du service politique est connue pour son professionnalisme et son indépendance d’esprit. « Je quitte la politique, je voulais juste associer ceux qui m’ont accompagnée, et voilà… », dit-elle, blessée.
Extraits :
Un cocktail donné par une journaliste [Sylvie Maligorne] de l’Agence France-Presse (AFP) qui tournait la page, après cinq ans à la tête du service politique, pour devenir « senior reporter ».
Sylvie Maligorne avait invité « tout le monde », comme elle dit
« Le premier ministre viendra », annonce-t-elle dans la journée au président de l’AFP, Emmanuel Hoog.
Des membres du nouveau gouvernement constitué la veille et autoproclamé « gouvernement de combat » sirotaient du champagne.
Vers 19 h 30, la plupart des invités sont là quand un brouhaha annonce l’arrivée d’un gros calibre. C’est Manuel Valls. Jean-Luc Mélenchon tente de se cacher derrière un pilier, mais il n’échappe pas à la poignée de main avec le premier ministre
Manuel Valls, tout frais nommé, qui était là pour sa « première sortie publique », comme il l’a souligné, prend la parole d’autorité, comme s’il était venu pour ça. « Nous nous sommes connus tout petits », dit-il, faisant allusion au début des années 1990 où Sylvie débutait à l’AFP alors qu’il était au cabinet de Michel Rocard. Quand il devient conseiller de Lionel Jospin à Matignon, le bureau de l’AFP se trouve juste en dessous du sien. « Quand vous entendiez mes pas un peu plus vite, vous saviez que j’allais venir vous engueuler », rappelle-t-il pour louer l’impartialité de la journaliste.
Le président Hollande arrive, décontracté, débonnaire.
Sylvie Maligorne, réputée émotive, fond en larmes. Elle le connaît depuis si longtemps, ce chef de l’Etat qu’elle tutoie et appelle François depuis ses balbutiements de député en Corrèze. « C’était normal que François soit là », insiste une collègue qui n’arrive pas non plus à appeler le président « président ». « Je n’imaginais pas de ne pas venir, renchérit Jean-Louis Debré. On en a passé des heures ensemble, dans la salle des Quatre-Colonnes… »
« C’était une fête privée, précise Sylvie Maligorne, organisée avec mes petits sous… »
« Tu me prends avec Manuel ? » « François, un selfie ! » On voit François Hollande et Jean-Luc Mélenchon, frères ennemis de la gauche, qui gazouillent dans un coin. Jean-Luc qui tapote la joue de François en riant. Les UMP Valérie Pécresse et Christian Jacob qui taquinent Valls et pouffent avec le Vert Jean-Vincent Placé. Le même en grande discussion avec Sapin, Valls et le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré. Le communiste Pierre Laurent, presque gai. Debré et Mélenchon qui font un selfie
Que se sont dit d’important Hollande et Mélenchon, qui attendait derrière son poteau son tour de poignée de main ? Leurs cinq minutes d’échange souriant ont mis l’assemblée en émoi. « Tu nous mets en danger », lui a dit le coprésident du Parti de gauche. « Voyons-nous », lui a répondu le président. Et puis Mélenchon a pris Hollande en photo, comme tout le monde, avant de s’en aller dîner avec Jean-Vincent Placé.
« C’était une soirée privée », répète Sylvie Maligorne. A l’AFP, agence de presse semi-publique, on est particulièrement sensible aux sarcasmes. D’autant que l’ancienne chef du service politique est connue pour son professionnalisme et son indépendance d’esprit. « Je quitte la politique, je voulais juste associer ceux qui m’ont accompagnée, et voilà… », dit-elle, blessée.
mercredi 16 avril 2014
Inscription à :
Articles (Atom)